Nucléaire : Greenpeace dénonce les exports d’uranium de retraitement en Russie

Nous avons découvert avec grand intérêt le 12 octobre 2021 sur la chaîne Youtube de Le Parisien une nouvelle vidéo qui pourrait vous intéresser.

La plupart de nos membres suivent de manière assidue nos articles sur Allo Trends, vous n'êtes donc pas très surpris que nous vous parlions aujourd’hui de la chaîne Youtube Le Parisien ! Les vidéos qui y sont diffusées intéressent grandement internet depuis pas mal de temps déjà. Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.

Pour ne rien vous cacher, quand on a vu que la chaîne Youtube Le Parisien avait publié une nouvelle vidéo qui s'appelait Nucléaire : Greenpeace dénonce les exports d’uranium de retraitement en Russie, nous n’avons pas hésité une seconde à vous la partager pour que vous puissiez la découvrir !

La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube Le Parisien, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.

Ce qui est pratique avec internet, c’est que lorsqu’on a un souci avec un contenu, on peut très facilement rentrer en contact avec son auteur pour lui en faire part. Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !

Bon et bien c’est bientôt le moment de conclure ce papier, vous pouvez revoir la vidéo Nucléaire : Greenpeace dénonce les exports d’uranium de retraitement en Russie si vous le souhaitez, elle devrait être encore disponible quelque temps. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Le Parisien en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !

Quoi ?! C’est déjà l’heure de nous quitter ?! Ne vous inquiétez pas, on se retrouve bientôt sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Nucléaire : Greenpeace dénonce les exports d’uranium de retraitement en Russie publiée par la chaine Youtube Le Parisien :

Une quinzaine de bidons marqués du sigle de la radioactivité, quelques banderoles, et des militants portant masques et combinaisons… Greenpeace
a protesté, mardi matin, devant le siège d’Orano (ex-Areva) à Châtillon (Hauts-de-Seine). L’ONG environnementale entendait manifester contre « des exportations d'uranium de retraitement français vers la Russie ».
Orano a confirmé avoir signé un nouveau contrat de vente pour un total d’un millier de tonnes d’uranium de retraitement avec Rosatom, l’entreprise publique russe du nucléaire. « Il est destiné à être converti puis réenrichi afin de fabriquer du combustible nucléaire pour les réacteurs russes », a indiqué
au Parisien, par mail, un porte-parole d’Orano. Rosatom souhaiterait, selon lui, utiliser cet uranium dans ses réacteurs nucléaires après transformation dans l’usine de Seversk, au cœur de la Sibérie.

Ces exportations de combustibles usagés, considérés comme recyclables par enrichissement, ne sont pas prohibées. En 2018, la société russe Tenex, filiale de Rosatom, avait ainsi remporté un contrat avec EDF pour recycler et enrichir de l'uranium issu du retraitement des combustibles usés du parc de centrales nucléaires du groupe français. Mais Greenpeace conteste depuis longtemps le classement en « matières
nucléaires » -donc considérés comme recyclables- des combustibles nucléaires usagés, réclamant leur classement comme « déchets nucléaires » donc non-recyclables et dont l'exportation est très strictement encadrée par l'Union Européenne. Selon l’ONG, « l'observation d'images satellites a permis de déterminer que l'entreposage des fûts d'uranium de retraitement se fait à ciel ouvert » sur le site russe, « sans dispositif de protection pour ralentir leur dégradation ».