Londres : une fresque géante de 150 000 cœurs pour les victimes du Covid-19

Nous avons découvert avec grand intérêt le 30 mars 2021 sur la chaîne Youtube de Le Parisien une nouvelle vidéo qui pourrait vous intéresser.

Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Le Parisien, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube Le Parisien poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “Londres : une fresque géante de 150 000 cœurs pour les victimes du Covid-19”, c’est juste en haut !

On pourrait retrouver dans les prochaines heures ce contenu dans l’outil tendance de Youtube vu le démarrage qu’elle fait ! Depuis que la chaîne Youtube Le Parisien l’a postée, beaucoup d’internautes ne parlent plus que de ça sur les réseaux. Attendons cependant quelques heures avant d'être fixé sur le succès au nom de cette vidéo.

A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !

Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Londres : une fresque géante de 150 000 cœurs pour les victimes du Covid-19, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de Le Parisien.

Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Londres : une fresque géante de 150 000 cœurs pour les victimes du Covid-19 publiée par la chaine Youtube Le Parisien :

Face au Parlement de Londres, de l’autre côté de la Tamise, plusieurs
dizaines de personnes réalisent depuis lundi une fresque géante de petits cœurs
symbolisant chaque victime emportée par le Covid-19. Crayon à la main, ils
dessinent avec soin chaque cœur, en rouge, en rose ou en violet, en pensant à
leur ami ou à leur proche perdu pendant la pandémie. « Chaque cœur
que nous avons dessiné ici est entièrement unique, comme chacune des personnes
qui sont mortes. Chacun d’elles avait des amis et une famille à qui elle manque
horriblement chaque jour », explique Matthew Fowler, co-fondateur de
l'association Covid-19 Bereaved Families For Justice UK, qui a eu l’idée de
créer le mémorial. Matthew a d’ailleurs dessiné en premier un cœur en l’honneur
de son père, Ian Fowler, décédé des suites du Covid, avec l’intérieur, ses
initiales : I.F Comme lui, Harry, enseignant à Bristol, a perdu
des proches. « Il s'agit de faire le deuil, il s'agit de le
reconnaître et de se souvenir de cela », lance-t-il entre deux coups de
crayons. Pendant huit jours, les membres de l’association vont ainsi se relayer
pour réaliser environ 150 000 cœurs sur un mur long de 500 mètres. Soit le
nombre arrondi ( pour l’heure, on en compte 126 000 ) de personnes mortes au
cours de la pandémie au Royaume-Uni. « Chaque cœur pour un disparu. L'idée
est qu'au fur et à mesure que le nombre de victimes augmentera, nous
continuerons à ajouter des cœurs tous les jours pour que ce soit un mémorial
vivant », conclut Matthew Fowler.