Julien Bayou : "Il y aura une candidature écolo à la présidentielle"

Le 8 juin 2020, la chaîne Youtube de France Inter a sorti un nouveau contenu qui a attiré toute notre attention, cet article va pouvoir donner un coup de projecteur dessus et pourquoi pas vous faire découvrir cette vidéo.

Depuis le temps que vous nous suivez sur Allo Trends, vous commencez à avoir l’habitude qu’on vous parle de la chaîne Youtube France Inter, et de ses vidéos si virales qui font systématiquement parler d’elle sur le web, et même au-delà ! Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.

Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube France Inter qui s’appelle tout simplement Julien Bayou : "Il y aura une candidature écolo à la présidentielle". Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !

Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube France Inter fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.

Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !

Bon et bien c’est bientôt le moment de conclure ce papier, vous pouvez revoir la vidéo Julien Bayou : "Il y aura une candidature écolo à la présidentielle" si vous le souhaitez, elle devrait être encore disponible quelque temps. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à France Inter, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !

On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Julien Bayou : "Il y aura une candidature écolo à la présidentielle" publiée par la chaine Youtube France Inter :

Le secrétaire nationale d'EELV est l'invité de Questions Politiques ce dimanche, une émission présentée par Ali Baddou.

L'élection présidentielle peut sembler encore loin, mais elle a un tel impact dans la vie politique française qu'elle est déjà dans les esprits. Pressé d'en dire plus sur ce que fera EELV, Julien Bayou tranche à moitié : "Nous aurons une candidature, il y aura une candidature écolo à la présidentielle", assure-t-il, avant de préciser : "Il faut une candidature, qu'elle soit ou non EELV, qui soit franchement écolo. En 2017, Yannick Jadot s'était retiré, parce que l'écologie était partout, dans tous les discours, mais finalement elle n'était nulle part. Maintenant, nous disons qu'il faut de la cohérence et des actes, on n'en peut plus des discours verts qui ne sont pas suivis d'effets." Il évoque un choix après les élections régionales.

Il estime que l'enjeu est clair : "éviter un second tour Marine Le Pen / Emmanuel Macron, tout simplement parce que ça n'apporte rien de bon au pays, et parce qu'Emmanuel Macron peut perdre. C'est peut-être même le seul qui peut perdre ce rendez-vous ! Il faut une alternative heureuse pour le pays, centrée sur l'écologie, et ce ne sera pas que EELV qui la portera."

Sur les violences policières, il dénonce "un déni"

Sur les violences policières : "Il y a un déni en France sur les violences racistes et les violences policières", assure Julien Bayou. "Chaque pays a son Histoire, je ne vais pas faire l'exégèse de l'histoire des droits civiques aux États-Unis, mais ces dernières années Trump a mis du sel sur les plaies. En France, même si comparaison n'est pas raison, ça fait 15 ans qu'il y a eu le drame de Zyed et Bouna, morts après une course-poursuite avec la police... Et depuis qu'est-ce qui a changé ? Aujourd'hui, les violences sont filmées, on a pu voir des cas terribles, insupportables, littéralement insoutenables."

La police française est-elle devenue raciste et violente ? "Il y a une partie de l'effectif policier qui l'est", assène le secrétaire national d'EELV. Il évoque un groupe Facebook "qui comptait 8.000 personnes" et où l'on postait des messages, vidéos, montages racistes : "Ça jette l’opprobre sur toute la police, ça fracasse le rapport de confiance. Tout le monde était tombé sur le dos de Camélia Jordana qui disait qu'elle avait peur de la police : la question c'est d'ouvrir les yeux."

"L'enjeu c'est de ne pas être aveugle, ou volontairement aveugle", assure Julien Bayou. "Ce qui percute le modèle français, c'est que des noirs ou des arabes (ou perçus comme tels), aient moins de chances puisque victimes de discriminations. [...] Ça nécessite un débat public, démocratique : ça implique de tenir des propos mesurés, et j'ai besoin que la population ait confiance dans sa police. Si on ne part pas de ça, on arrive à du Christian Jacob qui dit : y'a pas de violences. Quand c'est documenté, filmé, qu'il y a des témoignages, personne ne peut dire qu'il n'y a pas de violences policières."
Sur la question du déconfinement, Julien Bayou rappelle que l'épidémie n'est pas encore sous contrôle partout. "Le baromètre, c'est les terrasses : si on peut aller boire un verre en terrasse, alors les écoles doivent pouvoir fonctionner. Cinq à six mois sans école, ça pose un réel problème d'inégalités."
Il s'inquiète aussi de l'impact de cette crise sanitaire sur nos libertés à long terme. À Bernard-Henri Lévy qui dénonçait une "docilité" des Français, il répond : "Ça m'embête de trouver des points d'accord avec lui, mais en situation de crise, pour nos droits, ça peut déraper très vite : tout ce qui relève de l'état d'urgence se retrouve en général banalisé. Les mesures d'interdiction des manifestations, c'est une marche pour le climat qui en a été la première victime. Nous sommes particulièrement vigilants sur ces questions de libertés individuelles et publiques."